La « Promesse de l’Arc » reúne más de 60 000€ de donaciones para ayudar a reformar caballos tras su etapa en el hipódromo

La « Promesse de l’Arc » reúne más de 60 000€ de donaciones para ayudar a reformar caballos tras su etapa en el hipódromo

Inspirée par le « Breeders’ Cup Pledge », l’association Au-Delà Des Pistes a lancé une nouvelle opération de levée de fonds en amont du week-end du Qatar Prix de l’Arc de Triomphe : la Promesse de l’Arc.

 

L’entourage de tous les partants était invité à promettre de verser une fraction de ses gains à l’association en cas de performance – victoire ou place – de son ou ses représentants.

 

L’ensemble des dons récoltés permettra de venir en aide aux chevaux qui quittent la compétition des suites d’une blessure, et ont donc besoin d’un soutien financier pendant leur période de convalescence avant de pouvoir entamer une reconversion vers l’équitation de loisir, le CSO, le concours complet, le polo, le horse-ball – parmi les nombreuses disciplines dans lesquelles les pur-sang réformés excellent.

 

L’appel d’Au-Delà Des Pistes a emporté l’adhésion d’un grand nombre de propriétaires, éleveurs, entraîneurs, jockeys, agents de jockeys ainsi que de l’agence de ventes ARQANA, permettant de réunir plus de 60.000€ de dons.

 

L’Ecurie des Monceaux animée par Henri Bozo s’était engagée à faire don de 30% de ses primes à l’éleveur, proportion qui grâce à l’éblouissante victoire de SOTTSASS dans le Qatar Prix de l’Arc de Triomphe représente un montant de 24.300€ !

 

Ont également fait don d’un pourcentage de leurs gains et/ou primes;

 

• Les Aga Khan Studs, éleveurs et propriétaires de TARNAWA, époustouflante gagnante du Prix de l’Opéra, de VALIA lauréate du Prix Chaudenay, ainsi que des placées EBAIYRA et DARIYMA ;
• Godolphin SNC, co-propriétaire du 3ème de l’Arc PERSIAN KING et propriétaire d’EARTHLIGHT, NEMEAN LION et ZIEGFELD ;
• Le Haras de la Gousserie, co-propriétaire de SEALIWAY, désinvolte lauréat du Prix Jean-Luc Lagardère) ;
• Al Asayl, propriétaire de THE REVENANT victorieux du Prix Daniel Wildenstein ;

Ainsi que Wertheimer et Frère (TASMANIA), le China Horse Club (PATRICK SARSFIELD), l’Ecurie Meiohas (SANDYSSIME).

 

Chez les entraîneurs, Francis-Henri Graffard (trois victoires avec WOODED, THE REVENANT, TRUE ROMANCE, ainsi que la deuxième place de IN SWOOP dans l’Arc), Alain de Royer-Dupré (VALIA, EBAIYRA, DARIYMA) et Xavier Thomas-Demeaulte (AMBITION) donnent un pourcentage de leurs gains.

 

Du côté des jockeys Christophe Soumillon, Mickaël Barzalona, Théo Bachelot, Jérôme Cabre et Eddy Hardouin ont participé à l’opération, rejoints par les agents Bruno Barbereau (Cristian Demuro, vainqueur de l’Arc avec SOTTSASS) et Steve Obry (Christophe Soumillon, Stéphane Pasquier etc.).

 

Enfin l’agence de ventes ARQANA fait don de 1 000€ pour chaque gagnant acheté à l’une de ses ventes, ce qui représente un total de 6 000€ grâce aux victoires de SOTTSASS, WOODED, SEALIWAY, WONDERFUL TONIGHT, SKALLETI et JADOOMI.

 

Présidente d’Au-Delà Des Pistes, Aliette Forien a déclaré : « L’élan de générosité en faveur des chevaux réformés a été extraordinaire et nous fait vraiment chaud au cœur. C’est avec une grande émotion que je tiens à remercier tous les donateurs qui ont apporté leur soutien à cette initiative – quelle belle preuve de solidarité de l’élite de notre sport envers ses membres les plus vulnérables ! Les fonds récoltés vont nous permettre de faire vivre notre réseau de structures de reconversion en apportant un soutien financier à celles qui accueillent des chevaux en convalescence. La plupart des blessures que rencontrent les chevaux de course dans l’exercice de leur métier sont réversibles – tendinites, fractures – mais nécessitent d’observer une longue période de repos. Il nous paraît absolument légitime que la filière course supporte la charge financière de cette convalescence, mais il faut être conscient que cela engendre des coûts importants qui rendent ces levées de fonds nécessaires. Nous avons toujours été convaincus que le mécanisme de financement le plus vertueux est de solliciter une petite fraction des gains plutôt que d’ajouter des frais à la déception que cause la blessure d’un cheval. Nous continuons d’espérer qu’une contribution automatique de tous les socioprofessionnels sous forme de prélèvement sur les gains puisse être validée par le Conseil d’Administration de France Galop. »